Description
L’histoire que vous vous apprêtez à lire est authentique. Aucun nom n’a été modifié, et les coupables ne sont pas ménagés. Après sa lecture, vous ne regarderez plus jamais les événements de la même façon, aussi bien sur la scène nationale qu’à l’international. Personne n’ose appeler ça une conspiration est le fruit d’un formidable travail de recueil d’informations démontrant que le socialisme (une doctrine cherchant à asservir le monde entier) n’est pas un mouvement né des classes opprimées, mais bel et bien un régime soutenu et supervisé par les populations les plus fortunées. Une étude très controversée qui ne recevra aucune publicité et pour des raisons qui vous deviendront évidentes au fil des pages, qui ne sera, ni annoncé ou ni même disponible dans vos librairies. Heureusement, les gens que nous accusons ne peuvent cependant rien faire contre un système de distribution direct. Malgré les preuves accablantes, Gary Allen admet que quelques-unes de ses thèses ne sont que des conjectures, dans la mesure où les personnalités en question ne sont pas du genre à faire des « confessions intimes »… Lisez attentivement cet ouvrage afin que vous en tiriez vos propres conclusions sans « gober » les récriminations de ceux qui doivent, par nécessité, tout faire pour le discréditer. « Ceux » dont les projets de destruction avancent à grands pas vers leur réalisation.
« Quand on souhaite dominer la planète, on ne doit rien laisser au hasard. C’est pour cette raison que les fondations Ford, Carnegie et Rockefeller subventionnent de tels exercices. Le vrai nom de ce jeu est ”1984”. Il y a systématiquement régression démographique, stérilisation forcée et toute autre chose semblant nécessaire à nos conjurés pour établir un contrôle absolu et une utopie humaniste. Pour appliquer de tels projets, un gouvernement mondial tout-puissant doit être mis en place. Cela demeurera impossible tant que les États jouiront d’une souveraineté individuelle. Avant de consommer le grand mélange, il faut d’abord centraliser les pouvoirs au sein de chaque pays, détruire les forces armées locales et désarmer les citoyens ». Gary Allen
« Si vous regardez vers le passé, au XIXᵉ siècle, vous remarquerez que toutes les guerres d’Europe débouchent sur l’établissement d’un ”équilibre des puissances”. Dans chaque remaniement, l’équilibre des puissances se fait toujours autour de la maison de Rothschild, en Angleterre, en France ou en Autriche. Les Rothschild ont dominé les nations, de sorte que si un prince s’écartait de la ligne qu’ils avaient tracée, il était châtié par une guerre donc la cause première est son pourvoyeur de fonds. Il suffit souvent de regarder les dettes des pays belligérants pour savoir qui méritait d’être puni ». Stuart Crane
« J’ai eu l’occasion, à la fin de l’année 1910, de me mêler à des tractations secrètes, à la manière d’un conspirateur […] Je ne crois pas qu’il soit exagéré de dire que notre rencontre confidentielle de l’île de Jekyll fut le lieu de conception de ce qui allait devenir la Réserve fédérale ». Frank Vanderlip, bras droit des Rockefeller
« Quiconque refuserait de regarder en face la réalité décrite et analysée dans cet ouvrage agirait à ses risques et périls ». Clarence E. Manion
« On ne saurait être assez élogieux à l’égard de cet ouvrage ». Norman Dodd, enquêteur en chef du comité Reece
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